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Disneyo-bruckheimérien
avec Jon Turteltaub, Jay Baruchel, Nicolas Cage, Monica Bellucci, Alfred Molina
Buena Vista Home Entertainment 2010 / 19,99 € - 130.93 ffr.
Durée film 104 mn.
Classification : Tous publics |
Sortie Cinéma, Pays : États-Unis, 2010
Sortie DVD : 15 Décembre 2010
Titre original : The Sorcerer's Apprentice
Version : 1 DVD-9, Zone 2
Format vidéo : PAL, Format 2.40
Format image : Couleurs, 16/9 compatible 4/3
Format audio : Anglais, Français Dolby Digital 5.1
Sous-titres : Français, Anglais
Bonus :
- Making of
- Une scène coupée : «Balthazar recrute Dave»
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Après la licence Pirates des Caraïbes (dont le quatrième opus sort cette année sur les écrans), Disney a lancé l'an dernier la ''marque'' Apprenti Sorcier.
Un divertissement familial, soigné dans ses effets, plus ''léger'' dans son scénario, le public visé étant avant tout enfantin. Avec, caution, un casting attractif, Nicolas Cage en tête, ici professionnellement lifté. Dans le rôle du sorcier Balthazar Blake, il parcourt New-York, prolongeant une ancestrale bataille entre magiciens. L'ennemi : Maxim Horvath (Alfred Molina), ami d'autrefois tombé du côté du mal. Il a fait le choix de la fée Morgane contre le maître Merlin. Avec aussi, Veronica (Monica Bellucci), fée pour qui Balthazar entretient une flamme. Quant à l'enjeu, il s'agit justement de l'apprenti sorcier, ''élu'' que Balthazar cherche depuis la nuit des temps, et qu'il trouve en la personne du jeune Dave (Jay Baruchel), ''gick'' fan de physique, amoureux de la blonde et sympathique Becky... et doté d'un pouvoir qu'il va devoir maîtriser aux côtés de son mentor...
Le film se laisse voir non sans plaisir, avec, clin d'il bienvenu, une scène reprenant celle animée de Fantasia ; où l'apprenti lance une armée de balais dans le nettoyage de sa cave.
Jerry Bruckheimer, également producteur de la série des Pirates, pilote ici cet Apprenti, avec Jon Turteltaub (voir la série des Benjamin Gates) à la réalisation. Et l'on reconnaît la ''patte'' Bruckheimer, explosive, visuellement percutante, spectaculaire... mais pas très fine. Un divertissement en somme, disneyo-bruckheimérien.
Mathieu Gazzola
( Mis en ligne le 21/01/2011 )
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