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Films -> Comédie dramatique |
Argent facile avec Robert Luketic, Jim Sturgess, Kevin Spacey, Kate Bosworth, Laurence Fishburne Columbia Tristar Home Video 2008 / 19.99 € - 130.93 ffr. Durée film 123 mn. Classification : Tous publics | Sortie cinéma, Pays : 2008, États-Unis
Titre original : 21
Version : DVD 9/Zone 2
Format vidéo : 16/9 compatible 4/3
Format image : 2.35 (couleurs)
Format audio : Anglais, Français (Dolby Digital 5,1)
Sous-titres : Anglais, Français
Bonus :
- La stratégie de base - Journal de tournage : making of
- Las Vegas 21 - Les joueurs : les membres du casting parlent du blackjack et la méthode pour compter les cartes
- Le rôle de largent : documentaire sur lomniprésence du luxe dans le film
- Commentaire audio de Robert Luketic
- Bandes annonces Imprimer
Tout part dune histoire vraie, celle de génies des mathématiques du M.I.T. (Massachusetts Institute of Technology) ayant mis au point une méthode de comptage des cartes pour gagner à coups sûrs au BlackJack à Las Vegas. Ils sont ici incarnés par une série de jeunes acteurs, sous la tutelle dun professeur aussi manipulateur quintéressé, Micky Rosa (K. Spacey).
Nous suivons la trajectoire de Ben Campbell (Jim Sturgess, récemment vu dans Deux surs pour un roi), un garçon honnête, obligé, pour payer des frais de scolarité exorbitants, de jongler avec les petits boulots. Sollicité par Rosa et sa jeune équipe dont la belle Jill (Kate Bosworth)
-, il accepte de mettre à profit ses talents en statistiques pour escroquer les grands hôtels de Vegas. Cest de bonne guerre : voler aux riches pour payer ses études ! Promis, une fois la somme nécessaire pour rester au M.I.T. réunie, il arrêtera
Sauf que
Las Vegas 21, ou comment un gentil geek devient un flambeur de grande classe. Il est des tentations auxquelles il est décidément difficile de résister.
21 comme pour le jeu de cartes et lâge de ces jeunes escrocs : lâge de la maturité mais aussi une adolescence pas entièrement digérée. On fait encore des bêtises avec toute linnocence dun enfant. Telle pourrait être la morale du film qui, délicatement aussi, peut dénoncer le fonctionnement de ces grandes facs américaines où largent, demblée indispensable, est de toute façon le roi : un tyran même
Le film reste néanmoins à 100 % une uvre de divertissement, suivant un schéma scénaristique classique et donc prévisible, mais efficace. Jim Sturgess campe parfaitement ce jeune «bleu» confronté à ses démons. Spacey, en tireur de ficelles amoral et perfide, est très bien aussi. Rien à dire. La B.O. habille impeccablement lensemble : MGMT, LCD Soundsystems, Rihanna, The Aliens, des standards très contemporains et bien menés. À voir.
Bruno Portesi ( Mis en ligne le 12/12/2008 ) Imprimer
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