Altaïr (tomes 1 et 2) L’univers est riche et crédible: l’auteur utilise intelligemment des éléments de la culture occidentale et du Moyen-Orient, notamment pour dessiner de grandes cases s’étalant sur des doubles pages, où les décors, l’architecture, les costumes des personnages sont mis en valeur. Bande dessinée -> Manga
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Altaïr (tome 3) Le cadre de cette aventure est une ville portuaire imprenable au passé glorieux qui fait inévitablement penser à Rome et à l’Egypte antique. Bande dessinée -> Manga
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Altaïr (tome 4) Peu d’action dans ce tome mais ce changement de rythme n’entame pas l’intérêt
de l’histoire qui continue de captiver le lecteur. Bande dessinée -> Manga
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Altaïr (tome 6) Malgré une apparente complexité, l’intrigue reste simple à suivre, notamment grâce aux indications de noms de personnages et de lieux qui sont faites régulièrement. Bande dessinée -> Manga
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Altaïr (tome 7) Ce tome privilégie l’action. Les plans échafaudés lors des volumes précédents, trouvent leur aboutissement dans cette bataille finale. Bande dessinée -> Manga
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Altaïr (tomes 8 et 9) Outre l’aspect plus économique, on remarque aussi un questionnement sur la loyauté. Mahmud s’interroge sur la valeur d’une vie face à une cause plus grande. Bande dessinée -> Manga
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Altaïr (tomes 10 et 11) La lecture d’un nouveau tome d’Altaïr apporte toujours son lot de surprise : les retournements de situations sont toujours bien gérés et le suspense fonctionne très bien. Bande dessinée -> Manga
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