|
Vladimir Pozner
Le Mors aux dents Le Mors aux dents n’a rien à envier à la frénésie d’un Moravagine. Menée bride abattue, la prose halète et se hachure. Froide comme la pupille d’un Balte, l’écriture de Pozner est une lame de tachour qui plonge jusqu’à la garde. Poches -> Littérature
| | | |
|