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Poches -> Littérature |
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D’Edimbourg au détroit de Malacca | | | Alexander McCall Smith L'Amour en kilt - Les Chroniques d'Edimbourg - Tome 3 10/18 - Domaine étranger 2010 / 7.40 € - 48.47 ffr. / 446 pages ISBN : 978-2-264-05111-0 FORMAT : 11cm x 18cm
Première publication française en juin 2009 (10/18 - Les Exceptionnels)
Traduction d'Elizabeth Kern. Imprimer
Voici en format poche le troisième tome des chroniques du 44 Scotland Street : les habitués retrouveront tous les personnages principaux, Bertie et sa maman Irène, Pat et Matthew, Angus et son chien Cyril, Domenica, Lou
Ils poursuivent leurs existences, semblables à eux-mêmes et différents... car les caractères saffirment.
Matthew, désormais à labri du besoin, tente de saffirmer et dexister aux yeux de la jolie Pat. Celle-ci ne perd pas tout à fait lhabitude de samouracher dinconnus séduisants et nocifs à un titre ou à un autre, mais
les choses sarrangent. Big Lou, qui tient toujours son café, déchante quant aux sentiments quelle inspire à Eddie. Angus doit shabituer à se passer de Domenica, partie en séjour anthropologique chez des pirates dans le détroit de Malacca. Un séjour savoureux dont elle rend régulièrement compte dans une abondante et précise correspondance. Avec des pirates terribles qui se révéleront très inscrits dans la réalité du XXIe siècle
Laissé à lui-même, Angus doit non seulement éprouver le vide laissé par son absence mais accepter la présence dAntonia à qui Domenica a prêté son appartement, et de surcroît Cyril va lui être volé
Quant à Irène, elle est toujours aussi insupportable, sûre delle et pleine delle-même ; enceinte, elle excède la sage femme, ce qui donne lieu à une scène assez réjouissante
A six ans, Bertie se fait peu dillusions sur ses possibilités immédiates dévasion et de liberté, mais un voyage à Paris avec lorchestre dAdolescents dEdimbourg lui offre une fenêtre inespérée ! Il nest pas certain dailleurs que lempire dIrène ne soit à la veille de leffondrement : Stuart conquiert aussi quelques pouces dindépendance, seul le Dr Fairbairn, toujours enfermé dans sa psychiatrie, lui trouve du charme.
Hors de question de révéler les mille et une micro aventures des personnages, mais les chroniques dAlexander McCall Smith tiennent la route et le plaisir reste intact au troisième volume (on peut dailleurs les lire de façon séparée et aborder ce tome 3 en ignorant tout des deux précédents).
Marie-Paule Caire ( Mis en ligne le 28/06/2010 ) Imprimer
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